Osez parler de la fin de vie

Directives anticipées

A domicile, la fin de vie n’est pas forcément formalisée. C’est souvent en lisant  l’ordonnance que le pharmacien comprend ce qui se joue. Il serait utile de donner une information au comptoir sur l’intérêt des directives anticipées. 

Par , publié le 16 octobre 2018

Osez parler de la fin de vie

Le pharmacien d’officine participe fréquemment à la prise en charge des patients en fin de vie et à l’accompagnement de leur entourage. Reste qu’il est tributaire de l’organisation du retour à domicile qui inclut ou non sa prestation.
Et qu’il est important de bien connaitre les textes pour pouvoir donner une information au comptoir sur l’intérêt des directives anticipées par exemple. 
Quand la fin de vie est imminente, l’hospitalisation resteen plus souventla règle. Ce n’est pas seulement du fait des professionnels de santé ; les familles ne sont pas prêtes à voir le proche mourir. Pourtant 80% des Français disent vouloir mourir à domicile, mais dans les faits ils sont seulement 26% à finir leurs jours chez eux. Il serait utile dedonner une information au comptoir sur l’intérêt des directives anticipées. La nouvelle campagne lancée en octobre par le ministère de la Santé et le Centre national des soins palliatifs et de la fin de vie (CNSPFV) tombe à point nommé.
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Claire Manicot

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